A propos de ce jardin

Un hectare sur le causse de Martel, séparé en deux prés en forme de triangle, l’un bordé par un bois est un peu plus acide : parmi les chênes, on trouve des genêts, châtaigniers, alisier, néflier, le deuxième entouré de haies sauvages (ronces, prunelliers, cornouillers sanguins, aubépines, genévriers…) est aride en partie haute et planté en verger en partie basse (noyers, pommiers, pêchers, poiriers, pruniers, figuiers, cognassiers, cerisiers et petits fruits …). Au printemps, il y a de nombreuses fleurs sauvages (pissenlit, bouton d’or, scabieuse, carotte sauvage, chicorée sauvage, millepertuis perforé, mélilot blanc, etc). Entre les deux, la maison, sa grange, ses grands chênes et un espace plus jardiné mais assez résistant à la sècheresse où les fleurs sauvages sont aussi les bienvenues : sauges, campanules, lavandes, rosiers, iris, jasmin, seringat, oranger du Mexique, arbousier, buis, romarin, buddléia, oliviers, noyers, noisetiers, érable de Montpellier, vignes, lierre, ciste, serpolet, thym, ciboulette, gauras, consoude, mélisse, camomille, grande marguerite, fortitia, saponaire, coquelourde des jardins, bardane, cardère, hellébore, nigelle… 4 ou 5 sortes d’orchidées sauvages sont disséminées çà,et là. La phytoépuration apporte de la fraicheur avec ses plantes aquatiques : roseaux communs, iris des marais, joncs du chaisier, salicaires, menthes aquatiques et à boire aux insectes. Les 4 bacs à compost où germent tous les ans potimarrons et avocatiers sont bordés d’orties et d’un sureau. Une mare est en projet. Les deux prés sont fauchés une fois par an. Aucun produit n’a été utilisé depuis 9 ans.

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Catherine et hugues G

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Un hectare sur le causse de Martel, séparé en deux prés en forme de triangle, l'un bordé par un bois est un peu plus acide : parmi les chênes, on trouve des genêts, châtaigniers, alisier, néflier, le deuxième entouré de haies sauvages (ronces, prunelliers, cornouillers sanguins, aubépines, genévriers...) est aride en partie haute et planté en verger en partie basse (noyers, pommiers, pêchers, poiriers, pruniers, figuiers, cognassiers, cerisiers et petits fruits ...). Au printemps, il y a de nombreuses fleurs sauvages (pissenlit, bouton d'or, scabieuse, carotte sauvage, chicorée sauvage, millepertuis perforé, mélilot blanc, etc). Entre les deux, la maison, sa grange, ses grands chênes et un espace plus jardiné mais assez résistant à la sècheresse où les fleurs sauvages sont aussi les bienvenues : sauges, campanules, lavandes, rosiers, iris, jasmin, seringat, oranger du Mexique, arbousier, buis, romarin, buddléia, oliviers, noyers, noisetiers, érable de Montpellier, vignes, lierre, ciste, serpolet, thym, ciboulette, gauras, consoude, mélisse, camomille, grande marguerite, fortitia, saponaire, coquelourde des jardins, bardane, cardère, hellébore, nigelle... 4 ou 5 sortes d'orchidées sauvages sont disséminées çà,et là. La phytoépuration apporte de la fraicheur avec ses plantes aquatiques : roseaux communs, iris des marais, joncs du chaisier, salicaires, menthes aquatiques et à boire aux insectes. Les 4 bacs à compost où germent tous les ans potimarrons et avocatiers sont bordés d'orties et d'un sureau. Une mare est en projet. Les deux prés sont fauchés une fois par an. Aucun produit n'a été utilisé depuis 9 ans.

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